Ville-monde, Bruxelles est le lieu d’existence de répertoires musicaux d’une grande diversité, pratiqués par des personnes en situation de migration, ancienne ou récente, proche ou lointaine. Comment ces musiques évoluent-elles, se transforment-elles, se transmettent-elles dans la capitale de l’Europe ?

Après une première édition consacrée aux pratiques musicales féminines (2018), le festival des musiques migrantes à Bruxelles est devenu BRuMM  en mars 2019 pour célébrer “le printemps des cordes”. En 2020, le festival a mis à l’honneur les “rituels de printemps”.

Avec La Villa, Le Senghor et La Maison de la création, en association avec l’ULB, le CBAI et les Jeunesses Musicales – Bruxelles, La Concertation vous donnait rendez-vous pour découvrir les rituels célébrant l’arrivée du printemps.

Souvent cantonnées à la sphère de l’intimité, ces musiques (et leurs praticien·ne·s) sont souvent, par leur double altérité, doublement invisibles… Pourtant, les musicien·ne·s, professionnel·le·s ou non, sont souvent détenteurs·trices d’un patrimoine riche et spécifique !

Et, comme tous les patrimoines musicaux, ces derniers sont profondément transformés par la migration, la globalisation, le contact avec d’autres musiques, dans une dynamique permanente d’enrichissements et d’échanges mutuels. Parce que les musiques sont à la fois porteuses et productrices d’identités, de liens sociaux et de sens. Parce qu’elles sont vivantes, et en perpétuelle évolution.

Bonne découverte !

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